Le changement de locataire à la Maison blanche n’y a rien changé : entre les États-Unis et la Chine du président Xi Jinping l’heure n’est pas à l’apaisement, bien au contraire. De part et d’autre toutes les occasions sont bonnes pour mettre des bâtons dans les roues de son rival, que ce soit sur le plan économique, militaire ou diplomatique. De son côté, l’Union européenne tente vaille que vaille de ne pas se laisser entraîner dans cette confrontation. Solidaire de son allié américain certes mais soucieuse de ne pas se brouiller avec une Chine en passe de devenir la première puissance économique mondiale.
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